Wednesday, June 13, 2007

American eagle T. shirt

American eagle T. shirt.






Les statues de feu deviennent chaudes.
Vous avez trente secondes.
In the afternoon, you can take tea amid an orgy of gilt to the gentle sound of a harp, or sip a cocktail to the tinkling of a piano.
Le beau, trop beau.
J’entends la franche rigolade. La pluie a lavé, c’est bête à dire.






Et simplement, le plus simplement possible, j’ai parlé du crime.

Widely regarded as the best hotel in New York, setting the standards for service and value, the Four Seasons isn’t resting on its laurels.






L’Inde, dans tous les sens.
Les miroirs d’une geishas.
La même œuvre, œuvre unique, forme et fond dissociés. Fond : toujours le même ; formes : toujours mouvantes. Volontaires de la vie. Lotus pond. Un voyage au Vietnam. Portraits enchâssés dans la forêt. Perfume pagoda. Se projeter chez les autres. Emmanuelle Béart : la fabuleuse fausse star. Les filles sont indécelables. And the last thing that…
(N’oublie pas les intermédiaires.)






Kids completly out of control ! L’homme qui murmurait à l’oreille de… chais-pas-qui !
Les maisons peintes. The support of my best friend. What’s my last name ? Il fouette le cheval dans les yeux, sur ces yeux doux pleins de larmes. La petite rosse… I am the pack leader. A change in the personality. Vous voyez, dans la neige, briller de l’or. (Un roman de Philippe Le Guillou.) Plus c’est dur, plus c’est fort et plus c’est pressé, plus ça marque. Le galimatias du petit Jésus. La mère a besoin d’un meilleur ami et son meilleur ami est son enfant.
(Son enfant se propose.)

À quoi bon le connaître, ce Bien et ce Mal du diable, s’il coûte si cher ? Le français reste la base. Eux, les enfants.





Le soleil de l’amour brûle dans son cœur. Il s’écoute. J’ai été naïf avec les mots, j’ai été abandonné et dans cet abandon, l’amour. Brison-Saint-Innocent, encore le chalet de bois, la montagne de pierre, le cochon pendu (et égorgé, en train de laisser son bon sang dans un seau), le Mickey, le Mac Donald, le lac (promesse…), la piscine fluide, olympique, déserte, propre. J’ai quoi dit ? Cerfeuil… cercueil ? Nuit de Séville obscure, chaude comme un souffle en suspens. Tu es venu nous déranger et tu le sais. L’homme a été créé rebelle. Elle, c’est sur ma joue, la trace de son coup. La liberté est-elle insupportable ? La liberté avec le pain de la terre à discrétion. C’est toi qui a posé les fondements de la ruine de ton royaume. Mais en poète, l’homme habite sur cette terre. Les meneurs, les troupeaux. Dieu n’existe pas, nous sommes bien d’accord, mais Lui, Satan, existe. Au point même que suivre Dieu, bien sûr, c’est suivre Satan. Permission pour les péchés. Dans l’au-delà, ils ne trouveront que la mort. Car même si quelque chose existe dans l’au-delà, ce n’est, bien sûr, pas pour des gens comme eux. Et puis j’ai ouvert les yeux et j’ai refusé de servir la folie. Dans la sécurité du foyer, des présences de tigres, rousses. Noir des yeux architecturés comme un théâtre. Lèvres blanches nonagénaires. Quelque chose a bougé aux commissures de ses lèvres. Le prisonnier s’en va. Je suce comme Amanda Lear et j’ai le cul de Madonna. Il a la technique du draguage du premier rang, Patrice Chéreau. Accès illimité et sans attente. Cry soon. Ah, bin, c’est pas nous qui payons, qu’est-ce que tu crois ? Les rois du pétrole. La nature, la falaise. Dans Paris vieillarde. « Ni Dieu, ni Maître (même nageur). » Jean Yanne. Il pleuvait comme dans une ville italienne ou à la mer. Le clair du jour est clair. Quand on est déprimé, on est dans tout,
rien. Le massacre du monde plat.



Ces symphonies de parapluies…









Yves-Noël Genod, Paris, le dimanche 10 décembre 2006.

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