Friday, December 28, 2007

Toute la poésie, India Song. Musique. Try and catch me. Mariette. Concentration d’imagination. Vous êtes près du feu, près de la cheminée. Près du Parc Montsouris. Nous irons ensemble. Avec Henriette.

La photo d’Édouard Boubat. La porte s’ouvre, la porte du coffre. Dans le château de Maeterlinck. Le château au bord de la mer. Canapés tombes, canapés rouges. Le Pacifique efféminé. Deux chevaux figurants au galop.

Bouillir, gronder. Les deux chevaux vont-ils les renverser ? Et, quand je serai morte… Acceptez le fait que vous hériterez un jour de beaucoup d’argent.










Edmond dîne de bon appétit. Ed-monstre, que vous êtes élégant ! Chez moi. Meurtre de la nuit. Le coffret à bijoux. Edmond (dans la pénombre) il reste une toute petite chose… Dans la pénombre. C’est tout ce qui compte. Véronika. Henrika. Cette affaire est réglée.

Dessin sur du noir, glissement de l’ombre. Vous allez faire semblant de… Tapis moelleux. Grand dévergondage… La bonne blague. Et toujours ce visage. Le jour, c’est fait pour travailler, Martin.










Yves-Noël Genod, 28 décembre 2007.

Labels:

Fugu à l'aquarium du Trocadéro

Fugu à l'aquarium du Trocadéro










...Fascinantes synthèses du cerveau et du muscle. Attendez, il me vient, il me vient une idée, une idée poétique… absurde. Voilà, une rime. Le pianiste invraisemblable. Avec les œufs au plat, les œufs mimosa. Ève, allez à la banque ! La cuisine des dieux. Avec un bruit de bois fêlé. Gâteau surprise. Le parfum de Tokyo. Tout jouer. Le poison, ce poisson est un poison mortel. (Petits rires.) Poisson boule ou poisson coffre. Ce poisson que vous avez goûté. Les sardines prises dans le vernis. L’amour, les draps. Enfin sage. Restaurant writers dinner.










...Cette pauvre Madame Columbo n’a pas pu venir ? Tous les poils de la situation. Vin rouge translucide. Les chaises, les mouvements dorés. Les écrivains gastronomes. Baisers entre les générations. Et l’excellence, la maturité. On ne parle pas la même langue. Bonsoir, mon chéri, bonsoir. Il ne parle pas bien notre langue, enfin, pas encore. Du vrai poisson dans le vernis de l’âme. Comme du chagrin, du gâteau. Surréaliste ? Non, du vaudeville. Presque tous les ans. Vous trouverez les champignons secs coupés en dés en train de gonfler, là, sur la table.










Yves-Noël Genod, 28 décembre 2007.

Labels:

Deux poèmes

Deux poèmes










Se prélasser le reste de la semaine. Une fabrique d’instincts. Qui m’avait déconcerté. Le bout de la chambre. La porte presque ouverte. La chaleur du ciel et chagrin. Sorrow, heaven. Ne pas être, ne pas voir. Why do I hear ? Why do I fear ? La porte presque sans couvercle… Et de nouveau, si la pensée est une dent, le cœur. La cour. Demain Rémy, lavande éclair. Shaggy boit du jus d’orange. J’aurai de l’or – accumule et dilapide…










Voleur, voleur... Like an arrow. L’invraisemblable noceur. Le chômage et son cortège de misère. J’suis l’champion des champignons de l’Allier ! Au-dessus, au-dessous du tarif. Vous lui trouv’rez un abri. Où il aura chaud. Le liquide de l’encéphale. Dans ta folie de l’or… La maison est confortable, la table excellente. Ce qui est filmé, liquide et must. Le plaisir du palais. Le parti d’Henry. Re !










Yves-Noël Genod, 28 décembre 2007.

Labels:

Dictionnaire des Açores




Photos d'Arno Bouvier. Thomas Scimeca dans : Dictionnaire des Açores.

Labels:

Justin

Oui, sans doute que faire l’amour avec la chair de sa chair n’est pas quelque chose de courant…
Sans doute la morale réprouve-t-elle notre comportement…
Peut-être en était-ce d’autant plus excitant !
Quoi qu’il en soit, j’étais parvenu à un état de jouissance que je n’avais jamais connu auparavant.
Mais Justin mettait tant de cœur à l’ouvrage, il gobait ma queue avec tant d’ardeur et de passion…
Qu’il méritait bien sa récompense…
Oh, putain !!!!

Labels:

Quote of the Day

"O God ! I could be bounded in a nut shell and count myself a king of infinite space."

Labels:

Julien


Photo de Marc Domage.

Labels:

Une phrase non publiée de Liliane Giraudon

Ici soleil incendiaire dans ciel de crépuscule (maintenant c'est noir derrière la vitre) je voulais aller voir la mer mais j'ai dormi...

Labels:

Guillaume

Lauriane