Sunday, January 27, 2008

Disparition

If you’re a prisoner… and I’m a prisoner… of life. (Le désespoir de l’artiste – obligé de faire money with sa vie.)
(The hell with love !) Oh, merde ! j’ai confondu la Chine et les États-Unis…
Écrire à la vitesse de ne rien apprendre de plus. On revient sur tout. Il n’y a pas de psychologie, c’est ça, le progrès. La solitude, mais sans psychologie. Mais sans solitude non plus. A mood for a drink. On parlait, on parlait d’un tas de choses… Du genre… Elle se souvient – et c’est parti. La nuit, l’absence… mais dont le crépuscule mime la présence. De la forêt sans bruits. You wanna have a go at it ? Sa mère ne veut pas répondre – parce que sa mère veut survivre.










La porte s’ouvre difficilement. C’est la même porte. Voir sur grand écran – et – sur petit écran –, c’est supprimer la psychologie. Comment ne pas être heureux ? Recoupements. Les enfants chargent de sens les théorèmes. Et les poètes travaillent à la même chose, au crépuscule, à la même peine. ’ Yeux des forêts, rochers regardent, rochers parlent, arbres des forêts, rochers touchent, arbres montrent, leurs racines, comment il faut. Scintillement – l’étoile bleue scintille et montre le chemin, répétée. L’étoile bleue peinte – et si j’écris maintenant ta disparition…










Yves-Noël Genod, 27 janvier 2008.

Labels:

0 Comments:

Post a Comment

<< Home