Saturday, January 19, 2008

Du feu de Dieu

Du feu de Dieu

Quand je mourrai, j’irai au paradis
Parc’que c’est en enfer que j’ai passé ma vie










Je suis dans la vie – à la maison

Tes petits ongles, ta petite femme

Allez, envoyez le reste du monde

Étrange mission
La musique lourde et la nuit
La nuit

Un « aime » vivant

Je voudrais, moi aussi, m’éloigner de ton cœur










Raconter la mort sans cri ni violence

Le brouillard freudien. La beauté, fragile luisance. La roche. Regarde ce qui arrive avec Pierre Allure. Bach et Debussy
C’est ce réalisateur qui a fait The Constant Gardener, La constance du jardinier ? non, ça n’a rien à voir…



Yes or no.










Tu traverses le parc en diagonale.
Son innocence

« Rigoureux », si vous entendez : « douloureux »…
Les muscles dans l’aisselle
L’armure dont on se protège.
Bach et Debussy
Une boîte à Montréal : « La Foufoune Électrique »

Des larmes de citron sur un steak de thon
Les Marx Brothers



Ça donne un corps d’adolescent un peu aggravé
Son sourire de faction










La maison de Mallarmé et de Édouard Levé
Le local des vitres calmes
Lire Pierre Reverdy
Le jeu d’Hamlet
En extérieur, sans accessoires et sans scores
Un type à qui il arrive tout – Marcel Aymé.
Les marques blanches
Ils passent leur temps à expliquer.
Adam et Dave
J’ai fait des spectacles modestes qui étaient sublimes, maintenant, je ferai des spectacles prétentieux qui seront plus simples



On dirait du Strindberg









Ça marche sur rien

Le cerveau-puzzle - et la boîte secouée !
Faut trouver avant qu’on trouve
C’est la guerre des dieux
Tout ça paraissait un p’tit peu bizarre, surréaliste comme situation…
C’est quand elle tombe amoureuse que le cœur se met à battre

Hamlet 2

Oh, mon Dieu, que c’est triste d’être gay !

Ah, que c’est gai d’être hétéro…

L’amour, le pouvoir contre lequel tous les pouvoirs ne peuvent rien










Yves-Noël Genod, 19 janvier 2008.

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