Thursday, January 24, 2008

Ces traîtresses

Ces traîtresses










Le long du livre qu’on a en face. Dans la salle du bien. Un immeuble sans qualité. Les arbres petits et grands. L’eau transparente de telle couleur, de telle couleur… Son dos, son corps, son ventre. …Parce que, là, on est en train de me faire deux, trois enfants dans l’dos !... Pourquoi il y a cet esprit de bassesse ? Seul un Juif… Perruque Julien. Marlène pourrait s’éclairer avec une grosse bougie. L’os Gelber. Vecchiali cinéaste. Paul ? Qu’une bête sache jamais ce que c’est qu’être bête. Chaussé de son opinion. Les mains d’Agnès ont su m’assujettir. Marlène, il faut que tu l’entendes, la musique. La femme est le potage de l’homme. Les Précieuses ridicules. Baiser ainsi les mains et chatouiller le cœur. Bourgeoise… villageoise… En vérité, je ne sais ce que vous m’avez fait. Il m’est maintenant venu dans la pensée une affaire pressée. Les rêves d’Yves Godin. Si Dieu avait voulu que les hommes soit pédés, il aurait créé Adam et Dave. Un ordre et dedans et dehors. Les mystères d’amour. L’astre qui s’obstine à me désespérer… …respirer. Dormir et manger toujours bien. Mais comment ferons-nous ? car il fait un peu jour. Les enfants par l’oreille. Et vous savez donner des rendez-vous la nuit. Vous fuyez l’ignorance. Chose étrange d’aimer. Ces traîtresses. Ces animaux-là. Un bonheur continu rendrait l’homme superbe ; Et chacun à son tour… Le hasard et la sagesse. Hamlet (nouvelle version). Nouvelle vague (groupe). L’amour du mystère. Les douze tentateurs. Des phrases volées aux autres. Dans les recoins.










Yves-Noël Genod, 24 janvier 2008.

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