Tuesday, September 30, 2008

Les planètes où l’on arrive

Les oies dans la tempête. (Et l’espèce de canard-dindon.) (Ne pas oublier.)

Amour pulsé, platitude. La revue des éclairs. Des zones de chair. L’hiver faux, l’hiver vrai.

La pluie, les animaux. Sa montre, ses bagues. The weird and parallel world.

Toi (…) et toi, Felix. Créer et entrecroiser, entrechoquer.

Et la musique de l’espace, le sens du projet… Dans les drogues et dans les abus.

« Pour Hélène se conjurèrent… » It’s a world within a world… L’eau qui meurt…

Appartient aux rouages. It was about… Après une aventure, une maladie, une séparation…

La pluie parle à fond. À fond du cœur. Comme dans l’eau du bateau.

Les books étaient à propos d’autres places, pas d’autres temps, d’autres endroits.

Ou, par exemple dans la science-fiction, des planètes où l’on arrive.

« There were a place across the river called The World’s End. »

Souffler à partir des barrières des os, souffler pour mourir, aimer ; c’est si simple.

Ce qui est dit, ce qui te dit – tu ne sais pas – ce que la pièce dira à toi pour toi.

Elle parle en images. La scierie, évidemment – mais si nette ! et la neige…

La mort, ça ne pouvait pas être si terrible, puisque ça arrivait tout le temps.

Les mots, petits mots gris sur le papier deviennent verts.

Le jour plongeait dans le brouillard, les yeux dans les larmes.

Mais si le milkman devenait le greengrocer, alors…

La neige noire de la nuit, la neige noire, encore une fois... créait, catapultait une chute d’images infinies – en déficit.

Il y a un magazine qui ne parle que du Peuple, un autre que de la Vie, un autre que de la Femme et un autre que du Temps…

Le chaos, graphique comme la tristesse – et fluorescent.

La scierie qu’engendre le Temps. La rivière, la pierre – et l’au-delà.

Puisque l’entrée du monde… est une grotte où l’on pénètre encore lorsqu’on est grand.

Une femme accro à ses propres rêves. (And why should it end ?)

La pluie dingue, lente et merveilleuse pour s’y baigner, longue pendant quarante jours.

Les formes et les entités qui nous rendent tous aveugles. The shapes and entities...







30 sept, 1er oct 08.

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My Last Porn Film

Quand on écrit « je » pour une histoire d’amour. Le comble du « poétiquement correct ». Parfois j’essaie de faire une pile, mais la pile ne tarde pas à s’effondrer.

La pauvreté n’est pas un refuge. La banlieue est un trésor. Nuit de lumière, matinée champêtre. Too much. Not enough, too much. Noch nicht.

Un vieux cheval borgne efflanqué qui ressemble à Don Quichotte et un petit Sancho Pança tout con et tout cambré. – Quel couple ! – Un couple de foire.

Avec amour, tu me manques. L’ambition m’empêche de dormir. Mes rêves sont éveillés. Je n’ai même plus besoin de les raconter. Le mur vertical de la lumière.

Is it the real size of the knife ? …more room to you and more room to me… That woman I mentioned… Elle est absente.

Elle est absente par la fenêtre, dans l’air vert et la lumière de plume. Ses cheveux me manquent à la barrière. Le miroir. She put a naked finger in the flame.

I said : « Take it off ! » « Why ? » « Retrouver l’air. » « La musique de source. » « Le champ sonore. » Quelques pas, pensait-il, auraient dû suffire.

Elle mit son doigt dans la flamme. Élégance et science, élégance et violence. The queen should wear a T-shirt. Ennui, apathy, somnolence. (Le vin.

Avec le vin…) (Ou la bière.) Oui, improviser. Oui et sans préparation. Bien sûr et pourquoi pas ? Faut-il encore en avoir le talent ! Et le don ! My party experience.

Vent frémissant. Enfin : le corps ! Je vous remercie, voisin. Ladies and Gentlemen… Will Self ! (Some new life form will be generated.)







29, 30 sept 08.

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