Monday, January 12, 2009

Corne du robinet

Un défaut d’incarnation. Le menton. Dans le rêve, il est découpé par l’auteur. De cette femme au sourire éternel. S’habiller déjà, aux folies de l’incarnation, aux limites de l’incarnation. Joue bleue, joue rouge. Il y a le sourire de qui vous savez. Il y aussi celui des danseurs de Pina Bausch. Une énigme à sa façon. Je devais alors avoir dix-huit ans. Ségrégation entre le personnage et la real life. Élire l’information, déjouer l’information. Évoquez, obtenez. Il évoque des rires bébêtes.






Plus d’un écrivent pour n’avoir plus de visage. Les mois s’entament. Mur moutarde, mur blanc. Il te faut de la poussière, de la poussière d’étoile. « I’d drown with you to be together. » Le poème sans les mots. Dans mon appartement, de la taille d’une valise. Déconstruire plutôt que construire (donc tout est là, tout de suite). Ingeborg, tout de suite extrême (noir). Gros plans de visages. Le dos, la chair. Une scène théâtrale où tu parlerais à quelqu’un. Une épée. Ou entrée seulement quand il en a l’air.

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