Wednesday, February 25, 2009

A Place To Bury Strangers

Quelle beauté, Amélie Mauresmo ! Quand elle pleure… surnaturelle…
Son visage qui se forme et se reforme… Sa mère pleure aussi, très belle, le visage incroyable, l’image plate montre le visage incroyable et moi je vois parce que je suis protégé ? pas le mot… exalté ? pas ça… Je rencontre Pierre, c’est la première fois que ça m’arrive, une rencontre, je ne savais pas que ce serait comme ça… C’est étrange, ça ne se passe pas complètement « dans la vie », c’est sur un autre plan... dont « la vie » ne serait que la « projection »... Je n’ai pas regardé les auteurs, ils doivent en parler mieux que moi. Christian Rizzo m’envoie de la musique, très belle, encore une fois. Pierre, il est là, c’est juste ça, il est là et pas là, et « pas là », c’est encore plus « là » que là… J’ai de la chance. Paris est toute transformée, ce n’est plus Paris, capitale, c’est juste Paris, une espèce de truc un peu gris, un peu banal, un peu Berlin, un peu Londres, un peu province, un peu « pas là », mais rempli. C’est l’enfance, c’est le début de la vie. Et le début de la vie n’est pas pour soi, mais pour les autres… Étrange, c’est nouveau… Une chose s’ouvre, je ne pensais pas que ce serait là, à cet endroit si exact. C’est le réel ? Quand Amélie Mauresmo parle de la tournée américaine, on voit l’Amérique, on voit tout ce qu’elle dit. C’est un animal, elle est belle comme l’animal. Aucune once qui ne soit pas du moderne. Pourquoi les animaux n’évoluent pas ? Parce qu’ils sont modernes… Les hommes sont jamais aboutis, c’est con. L’excellence est dans la vie, Amélie, la rencontre, pourtant. Amélie Mauresmo est là à la télé, et complètement ailleurs et là où elle est – ailleurs – fait venir les larmes d’émotion – parce qu’elle le laisse voir. Une star, pas n’importe laquelle. Elle parle de cent pourcent de confiance en plus, pas de cinquante, quatre-vingt ou quatre-vingt-dix, non : cent pourcent. Et aussi : tout influe sur le résultat.

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