Monday, July 06, 2009

Le massage sucette

Les insectes noirs envahissent la forêt. Toute cette pluie et toutes ces larmes. Un film à ne pas faire. Paris est une ville très nombreuse. Pierre travaille au ministère. Les beautés technologiques, les merveilles. "On a l'impression que les gens sont incrustés dans l'image", dit Pierre. "Ce qu'il y a de plus beau ici, c'est le gardien." Fable de Venise, de Hugo Pratt. Le ciel au-dessus du fleuve deviendra noir. Il parle avec un ton docte. Pierre avait froid parmi les tableaux. Mes grands enfants. La disaspiration. "Je me rattrape en vous rencontrant." Vent d'or, vent glacé. Flash, pluie perle. Feu. C'est la Seine. L'avocat est du côté de qui ? Je pose des questions. Quelqu'un - dans une autre vie - plus tard - dans la forêt rendue à la nature... Toute cette superficialité enserrée dans les plis et rien n'est dit. La voiture calme à travers la nuit seule. L'oc du larme. Le visage abstrait. Le virage. Les attractions, le cinéma. Je te parle à voix liquide. On irait danser la fleur de la disparition. I wanna take that ride with you. L'homme remarque son image. Un cinéma filme le cinéma. Les oiseaux hurlent, stridents, aussi forts que les tours, l'eau, les lumières électriques...

Labels:

0 Comments:

Post a Comment

<< Home