Monday, February 16, 2009

Le Baron

« Ceux qui viennent ici dépenser des fortunes – jusqu’à leurs dernières économies parfois – caressent avec un certain sens du tragique l’idée qu’un homme véritablement accompli doit être capable de tout perdre. »

« La grace matinée » (association).

Jouer sur Facebook.

Il ne faut plus écrire le français correctement !
(L’histoire, elle nous remonte à la figure.) (Jusque là y a pas d’quoi fêter un chat.)






Dites donc hier soir au Baron, Helena Noguerra m’a sauté dessus (faut dire faut être très proche, en boîte, si on veut se dire quelque chose), oui, vous avez bien lu : Helena Noguerra ! Elle m’a dit : « C’est bien toi, Jean-Noël ? » Elle était venue voir avec Philippe Katerine le spectacle dans le noir (Le Dispariteur) et justement elle l’avait appelé récemment pour lui demander de mes nouvelles et – justement – quand elle l’avait appelé il était justement de nouveau à la Ménagerie pour voir un de mes spectacles (le 9 décembre dernier, le spectacle dans la neige d’Yves Godin). Enfin, bref. Qu'elle est belle ! Les printemps ont comme des esclaves… C’est la Carla Bruni du riche !

Sinon, au Baron, j’y étais pour voir le groupe de Jeremie Regnier (j’aime bien écrire des noms de stars, mais, là, c’est une blague, c’est pas le même, c’est le mien !) qui a fait un tabac. Le groupe s’appelle The New Government, très connu au Liban.

Sinon, une bizarrerie, Pierre n’a pas pu entrer. Je pensais qu’il dormait, il ne répondait pas, en fait, il venait en voiture, mais il avait oublié son portable (et Hélèna (pas Noguera) voudrait tellement que j’écrive : « mobile » comme elle voudrait que je dise « en revanche » plutôt que « par contre »), il avait oublié son portable, disé-je, puisque tout le monde dit comme ça, et le bibendum à l’entrée n’a même pas regardé sur la liste et l’a nargué : « Eh bien, appelez-le votre ami... » Sans doute que la boîte était pleine (de people), c’est très petit, le Baron.

Les liens :
http://musique.ados.fr/Helena-Noguerra/Tout-morose-t174752.html
http://www.myspace.com/thenewgovernment
http://guarantyofsanity.hautetfort.com/

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Alors il y a combien de situation ?

« Oh, you’re look splendid, just as you are. »
« I wanna remember just as we are now… »

J’entame ma période gothique flamboyant du Dispariteur.
Être fair-play même en amour.
« Poussin » ou « chaton », les couples fusionnels.
Il n’est pas de problème qu’une absence de solution ne finisse par résoudre.

Twenty three is everywhere. Twenty three est toujours.

Les animaux sauvages, les animaux de notre espèce…
Ils portent sur leur peau leur costume. Le chat-garou, le loup…
Je regarde la cire des images retenues.

« Les gens ont l’impression que quand on fait plusieurs choses, c’est qu’on ne sait pas bien les faire. Alors à une époque, j’ai eu plusieurs CV. »

Contrariété – heureuse année – illumination.

Amant dompté – désir de tigre – rocher de cristal.

L’intention première du poème est d’abord de nature plastique.

– Et la lampe s’étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu’il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre !

La bouche de fraise, l’antique conscience...

(Il a écrit en français ce qui est facile à lire.) La corneille craint, crie…
Le Mal secoué par les ornières de la voiture. AVEZ-VOUS DÉJÀ VU deux aspirateurs qui dînent chez Pietro ?

Tandis que les filles, tels des oiseaux exhibés dans une cage.

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