Monday, June 08, 2009

I do care for you



les guerres de l'étoile

I've been playing Lady Macbeth

espoir, honorer de sa présence...

les merveilleux chapeaux luisants

dans une riche solitude

la vérité de Marguerite...

l'étrange créature

dessinée, découpée

mourir joyeux, mousseline...



I do care for you

I believe you're sincere at least

le dernier love

la fleur de femme

les convives s'en vont avec les plats

des cheveux, les lacs de regrets, des flammes...

le baron pur

(rire avec le baron)



se partir, se fuir

Marguerite ! you need love more than you need money just now

you need care even more than love

des joyeux moutons comme des chiens

l'épaule nord

un effet d'yeux pour dégager le sens

l'expérience de vivre

Hamlet était comme Roméo

C'est... Robert qui a l'verdict !

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Philippe Eustachon

Coucou Yves-Noël,
J'avais juste envie, très envie de te dire très vite, parce que le temps manque toujours, que ce que j'ai eu la chance de voir samedi dernier était tout simplement grandiose. Du grand grand art. Tous les fantômes du théâtre se réveillent et nous parlent. Comme au cinéma en beaucoup mieux parce que devant nous et vivant. Bien vivant. C'est d'une humanité tellement sensible, tellement simple, tellement belle. Tout se dilate. Tout est en suspens. Tout s'arrête tout le temps. Et tout devient précis, clair. C'est évident. C'est magnifique. C'est très très poétique. Fulgurant. J'adore. Encore. Mille fois merci.
P

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le porc amoureux



je pleure en lisant

ce qu'a mangé Obama

dans un restaurant

près de la tour Eiffel

du gigot d'agneau

et une île flottante

(en attendant mon

steak de thon)

et éméché par l'alcool

(le Saint-Saturnin, Coteaux du Languedoc)

après le cours de danse

la sécurité du président

est absolue :

il y a un goûteur

une lumière rose

tamisait la façade

de la cathédrale

où s'était embusqué

un tireur d'élite

on the quicksands of popularity

une pensée dans la poésie

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