Thursday, August 26, 2010

Paris est tout gris ?

Belle de jour

"Ta souffrance n’est qu’une absence limitée dans le temps.
(…)
Imagine. Ce que tu aimes le plus au monde, c’est où tu vas et non d’où tu viens.
Les oiseaux qui chantent sont des musiciens. (Suppose the singing birds musicians,)
L’herbe sur laquelle tu marches, c’est la paille du trône.
Les fleurs sont des jolies femmes. (The flowers fair ladies,) Tu ne marches pas, tu danses, c’est délicieux, tu danses. (and thy steps no more / Than a delightful measure or a dance ;)
Si la tristesse montre ses dents, moque-t-en. Tu auras moins mal."






(La réponse est intéressante parce qu’elle montre – comme toujours dans Shakespeare – l’autre point de vue : « La seule image du bonheur accentue le malheur », etc. Ce point de vue qui n’est jamais le mien (sauf à le jouer).

O, who can hold a fire in his hand 

By thinking on the frosty Caucasus ? 

Or cloy the hungry edge of appetite 

By bare imagination of a feast ? 

Or wallow naked in December snow 

By thinking on fantastic summer's heat ? 

O, no ! the apprehension of the good 

Gives but the greater feeling to the worse :
)

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