Sunday, October 31, 2010

François Olislæger m’envoie sur Facebook le message : « Pas mort » (faisant allusion à la chanson de Philippe Katerine). Mais avant d’en finir avec la mort, je voudrais dire – ici parce que je ne sais pas où je pourrais le dire, alors, pourquoi pas là ? Si je meurs, mon corps à la science, à la transplantation, tout ça. Ça, c’est chouette d’imaginer qu’un de ses organes continue de vivre pour quelqu’un d’autre. Puis pas de crémation, c’est vrai, c’est nul, j’ai vu pour ma sœur, c’est nul. Même une tombe que personne ne vient fleurir, c’est mieux. Je suis chez Erik où les gosses me racontent des scènes de catch atroces et il pleut, il pleut. Il pleut.

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