Sunday, October 03, 2010

Etlrst

On écoutait sur Deezer, en dînant chez moi et sans parler, le String Quartet (n° 15) de Franz Schubert. Puis P. m’avait parlé des Nuits de Paris, de Nicolas Restif de la Bretonne et, moi, je lui avais parlé de tout ce qui me passait par la tête. Avant cela, dans l’après-midi, nous avions vu une excellente mise en scène de Marivaux, Les Acteurs de bonne foi (par Jean-Pierre Vincent). Nous l'avions eue « sous les yeux ». La pièce, la dernière de Marivaux, virtuose, si profonde que j’en pleurais. Pauline Mereuze y était excellente, rayonnante absolument et tous les acteurs jouaient ensemble, formidables, il n’y a pas d’autre mot. On y avait croisé Valérie Crunchant et Laurence Mayor avec sa fille Sarah (au cours Florent). Laurence était très belle et en pleine forme parce qu’elle ne mangeait plus que du raisin depuis un moment. On avait aussi croisé Christophe Pellet à qui j’avais été heureux de pouvoir dire quelque chose de positif (il est si effrayé…) : j’avais dîné à Marseille avec un acteur qui allait jouer sa pièce Erich Von Stroheim et qui m’avait posé des questions sur le sens de quelques détails (que je n’avais pas su lui donner évidemment, je lui avais dit de s’adresser directement à Christophe). Le matin, on s’était couché vers sept heures, je crois. On avait fini la Nuit Blanche à La Java pour la soirée mensuelle Flash Cocotte conseillée par Olivier Casamayou. Plein de jeunes gens merveilleux et très saouls, comme il se doit quand on a vingt ans, heureux comme des enfants. Robin Causse était là, etlrst, comme dit Restif de la Bretonne à la place de « etc. » (« et tout le reste »). J'avais loupé Jessica Battut de peu, etlrst. Avant cela, il y avait eu, pour moi, la soirée chez Alice et Jean-Marc avec Stéphane et Sylvie dont je reprends les notes, celles du « Carnet d’Alice » :

« Il y a une époque où je cherchais à tout dire sur ce blog... »

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