Sunday, October 17, 2010

To combine yourself with a brand

Le Café, la vie

Capable de pleurer en lisant le journal, en regardant un chien, en pensant à Untel ou Untel, en s’épuisant du manque, et de l’intelligence, et de la disponibilité, et pourtant de ce manque, cette tristesse ambrée dans les yeux, tandis que le temps est gris et qu’une sorte de Nathalie Kousnetzoff fait de l’orgue de Barbarie dans la rue, en buvant des ristrettos. La sensation d’être quand même dans un des détails du monde et pas dans le tout. Alors reviens la phrase de Beckett : « Accrochez-vous à votre désespoir et chantez-le nous. » Et puis la vie reprend simplement parce que j’ai faim. Et puis parce que j’ai appelé Kataline Patkaï qui était en train de déjeuner. Une fille, enfin…



Je suis L’homme Azzaro

Ensuite, plus tard, je visionne le making of du shooting d’Enrique Iglesias pour le parfum Azzaro. « If you don’t believe in something, I think you shouldn’t do it. You have to be 100 % happy with what you gonna do. Because, you know, that’s gonna stick with you for the rest of your life, for the rest of your carrier. » Je ne sais pas si ce parfum m’irait. Je suis anosmique. C’était l’une des rares choses intéressantes que disait hier Serge Daney. Il reconnaissait que la publicité était bien filmée (car il y avait de l’argent pour savoir – ou engager des gens qui savaient – qu’il ne fallait pas zoomer).

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1 Comments:

Anonymous F said...

Obsession pour Enrique Iglesias ?
Je comprends mieux le post de YNG sur la chronologie. Je ne sais plus où j'en suis. Je pensais le suivre pas à pas sur un axe du temps bien net et saccadé mais c'est plein de boursouflures. L'axe est mou. YNG le tord.

3:51 PM  

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