Wednesday, September 15, 2010

L'Enquête se durcit

Et pour finir, la vidéo fake lamentable (nous espérons, en tout cas, que, rapidement, la France passera à une autre affaire). Cliquer sur le titre.

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Tout se recoupe


Maintenant une photo apparaît (l'enquête continue) et ce message de François :

(en objet) ouille ouille ouille

et

On n'a pas fait la fête à moitié ...

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From disaster to miracle

Bourré !

Qu’est–ce qu’il s’est passé ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Un autre monde… Je ne sais pas pourquoi deux vodka-orange ont suffit à faire de moi un – disons – joyeux luron. Et j’en ai bu quatre à la fin – sans besoin. François Olislæger était là…




Je fais un affreux rêve très culpabilisant qui se termine avec la phrase :

Le récit, c'était perdre de l'argent dans le sable.

En fait, c'en est trop et, sur cette phrase, je préfère me réveiller. Je trouve - à travers un énorme pays dans la tête (mêlant le rêve affreux avec une femme, Annabelle, un peu ma sœur, que j'entourloupe à moitié - on est dans un car, on visite l'Amérique - qui est peut-être une ville - on se demande quoi faire dans la soirée, elle a une idée, j'en ai une autre (mais c'est moi qui dirige) - à un moment où le car est arrêté, je lui dis de descendre chercher le ballon que je vois par la vitre et qui nous servira pour plus tard. Mais Annabelle se fait gauler (je le savais), il aurait fallu piquer le ballon juste avant que le car démarre (s'adresser à Thomas Scimeca pour la science des arnaques ratées), mais elle l'a fait si naïvement, si dirigée que, voilà, on est séparé, les armes à feu pointées sur moi et des énormes : par exemple, une mitraillette qui se présente comme un cylindre de tuyaux. Etc. Etc. Fermer la parenthèse.) Je trouve donc, à travers un énorme pays dans la tête mêlant le rêve affreux avec une femme avec quoi, déjà ? Je ne me souviens plus. Ah, si, l'amour-plainte et affreux aussi de l'amour de Pierre - et puis mêlé sans doute à plein d'autres choses - je trouve deux photos de Philippe Quesne et un message de Philippe Katerine que je note plus bas et je trouve aussi un bout de texte écrit dans la nuit, je crois me souvenir précisément, pour voir si "on" peut écrire bourré. Eh bien, la différence, en effet, c'est qu'il y en a une et qu'il n'y en a pas. La différence, c'est que c'est plus court (je me souviens aussi précisément : mes doigts tapent n'importe quelle lettre, ça me demande un sacré effort). Mais, sinon, passé le sas de réappropriation normative de ce qui n'est que coquilles, il n'y en a pas, c'est écrit comme sobre. Marguerite Duras avait raison. CQFD. Maître Capello, vous pouvez relire (j'ai à faire) ?

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Photos Philippe Quesne, message Philippe Katerine



Photos Philippe Quesne.



15 sept. 10 04:11

C était inouï toi sur scène avec tes camarades, j ai adoré! Philippe



Un article bientôt suivra dont le titre sera : Que s'est-il passé ?

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Enquête

Bdj

"Je me souviens que de tes sentiments... de ton parfum, de ta présence... Les traits m'sont indifférents."

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Belle de nuit

“ Je ne sais pas où s’arrête l’artificiel et où commence le réel.”

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