Monday, January 17, 2011

Viable, joyeux, plein d’espoir

« Vite et bien : deux fois bien. »

« Stendhal est heureux d’écrire son bonheur. »

« La société est tellement menteuse qu’elle fait comme si on attendait la création, mais c’est pas vrai. Flaubert n’a jamais été attendu, personne, Proust non plus. Ça a toujours été un combat. La littérature, c’est la guerre et la poésie, c’est la guerre. C’est vraiment une guerre et on la mène chacun avec ses forces contre une opacité sociale, « le gros animal », comme dit Simone Veil, qui s’en fout éperdument que vous écriviez ou que vous écriviez pas des livres, etc. C’est ça qu’il n’faut pas perdre de vue… Vous allez au numérique, à tout ça, bon, mais il n’faut pas perdre de vue que la faculté de réfléchir et de mémoriser perd de la force et que ça s’ra pareil pour la musique, la peinture et tout l’reste - et tout ce qui est l’art. L’art, c’est l’amour ou c’est la même chose, vous comprenez ? »

« C’est parce qu’il écrit que l’amour peut se produire, voilà. »

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