Sunday, January 23, 2011

Boris is the associate artist this year ! Tu DOIS faire quelque chose, même si c’est pas avec moi !!!

Et j'ai vu Somewhere, pas mal. J’aime bien que tu me vois dans cette petite biche.

Again love



Oh, t'es mignonne, bichette, mais la programmation d'Avignon, elle est faite depuis dix ans (et c'est pas Boris qui la fait...)
Et, moi, je sais pas faire mon Isabelle Huppert de tanner les gens jusqu'à ce que ça marche. (Même les gens qui l'aiment pas finissent par travailler avec elle, tellement elle tanne – et elle essaie de piquer le rôle de Jeanne pour l'année prochaine à l'Odéon...) Les gens d'Avignon me connaissent, bien sûr, je pourrais dire, attendez, vous croyez me connaître, mais, là, j'ai un truc, vous allez pas me reconnaître, un projet spécialement bankable, etc., vous allez en tomber des nues, vous allez m'en dire des nouvelles, spécialement pour vous ! Mais non, moi, mes projets, c'est secret, c'est discret, c'est juste un lieu, des acteurs et, après, je fais ce que je veux, c'est-à-dire ce que je sens de ce lieu et de ces acteurs, tu sais bien, je suis comme Coco Chanel, c'est toi qui m'avais amené ce livre au début de Oh, pas d'femme, pas d'cri... « Je fais mes robes sur les mannequins. »
Je t'embrasse, merci de ta rêverie quand même, très belle

YN



Tu as bien raison et je reste fidèle à ta société secrète de vrai art en beauté

Your bichette / clown / drag queen / love from Brooklyn

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Les Phrases

Une critique sur un blog de « L’Express », une « descente en flèche ». Donc je parcours, blablabla, essayant d’en apprendre sur le livre que je voudrais lire, que j’aimerais aimer, que j’hésite encore à acheter dare-dare et puis blablabla et puis le critique cite quelques phrases du livre (ça devrait être obligatoire de citer) et, là, je sais : la publicité est intégrale, nette, éclatante parce que les phrases (entourées, il est vrai, de faire-valoir) sont très belles, très vivantes. « Et puis, surtout, à chaque page, on butte sur des phrases bancales, incorrectes, incompréhensibles. Florilège : « Ce métier de journaliste auquel je m'essaie dans un stage sans terme fixé au « Nouvel Observateur », je n'ai a priori aucun respect pour. » Plus loin, c'est Gaston Gallimard, « coupable que sa maison ait refusé » Proust. Ou encore : « Gérard me dit d'en finir avec Valentin, conseil appuyé si peu dans sa manière qu'il manifeste l'assurance du conseilleur en sa solution, la faiblesse que ce serait de ma part de ne pas m'y soumettre. » Si un lecteur a compris qui conseille quoi à qui, prière de s'adresser à « L'Express ». » Surtout pas m’adresser à « L’Express ».