Sunday, January 30, 2011

Emerveillement à la Comédie Française

Excellente mise en scène d’une pièce de Feydeau – et c’est merveille de voir l’exactitude de ce qui est représenté dans la salle, dans le foyer, à l’entracte, sous les lustres et dans le vrai décor. Cette exactitude en gros plan, sans fin, sans fond de ce qui est représenté dans la joie et la bêtise.
J’ai trouvé une place à douze euros et je me suis assis par terre à la corbeille. Avant d’entrer dans la salle, j’ai appelé Claude Régy (j’ai commencé avec lui un Ivanov au Français), Pierre, Robin (qui m’a conseillé ce spectacle), mes parents – aucun n’a répondu. Dans la pièce, il y avait cette expression : « PPC, Pour Prendre Congé ». La vie est un long départ, un long départ… Mais, pendant la pièce, il y a Philippe et Constance qui m’ont appelé et Erik un sms. Et puis, en plus de l’excellence, il y a Christian Hecq, pure offrande à la populace.



Oh, il y avait longtemps que je n’avais pas lu un livre aussi beau, aussi apaisant. C’est un des plus grand livre que j’ai lus de ma vie en ce sens qu’il la ramasse, ma vie, comme les plus grands livres.



J’ai rencontré un Emmanuel sublime qui s’occupe de l’insertion des jeunes du 93. Il m’a dit qu’aux frontons des bâtiments publics à La Courneuve, il y avait : « Droiture et Tendresse ». Mais comment est-ce possible ? Ou bien alors parlait-il de lui…

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Place de la Bastille

Débranché

« Ce qui me gêne, c’est la connexion constante. Je pense que la culture est un moment de déconnexion. La culture c’est unplugged ! »

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Est-ce que ça se voit dans les yeux ?

« Quand j’écris, il s’passe quelque chose que, que j’ai l’impression est fixé quoi qu’on fasse, quoi. Donc, heu, c’est peut-être aussi quelque chose qui a trait à mes habitudes photographique et à la façon dont j’ai pu pratiquer un peu la photo, je sais pas, mais... »

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