Friday, June 17, 2011

Soon-to-be

« On peut toujours repousser les limites de l’art, de la mode – et de l’amour. »

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Le papillon ne voulait plus me quitter. Je l’ai porté en bague tout le long du chemin. Je l’avais déjà chassé près de la rivière (son pays). Mais il était revenu (immédiatement). Le papillon ne voulait plus me quitter. Son pays est le paradis. Je l’ai porté en bague jusqu’à la voiture. Le monde moderne. Là, j’ai été ferme. Que connaissait-il du monde moderne ? J’ai refusé qu’il monte dans la voiture. J’ai refusé. Je sais ce qu’il voulait. Il voulait que je reste avec lui, effectivement, au paradis. Mais le paradis n’a qu’un jour, ce qui lui convient, effectivement. Mais je vis plus longtemps. J’ai cessé mes relations avec le papillon en l’embrassant du mieux que j’ai pu. Nous étions loin de la rivière, saurait-il retrouvé le chemin ? Le papillon vit dans le bonheur. Ici ou là…

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« ...pendant un orage d’hiver, près de la poubelle, en pleine guerre... »

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Probablement...

Probablement « pour Pierre » encore,
En attendant « l’autre », l’animal qui viendrait sur tout le corps
Se poser, l’autre oiseau dont on n’entend que le nom chanté pourtant avec insistance, cette insistance (vous savez)
De soleil, but atteint, la nuée blanche et bleue et trouée jusqu’à ne rien faire






Et inventer – pour l’usine – l’alibi du soir facilement inventé (jusqu’à l’apéro – on ne vous dira rien) – le dieu du virage – bleu – de l’heure bleue –
Se tait, se terre comme l’aurore – l’au-rore, la vie pleine d’eau comme un sillon
Un miroir vibrant

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