Friday, August 26, 2011

Andreï s’était enfermé dans le malheur














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If only...

Yves-Noël Genod, l'humour tendre



Comédien, metteur en scène, lecteur, blogueur, Yves-Noël Genod a la grâce d'un grand clown triste et l'humour pince-sans-rire d'un poète. Au service de ses interprètes, il met en scène des pièces où il interroge les fondements du théâtre, ou se lance lui-même dans des improvisations lors desquelles il aime à lire des extraits du dernier livre acheté, et digresse sur la vie, le théâtre, les acteurs. Avec, toujours, beaucoup de tendresse malicieuse, comme ici dans cette interview à l'occasion de sa pièce Libérez Polanski au Grütli, à Genève, en 2010.



(Cliquer sur le titre.)

Est-ce qu'il a besoin de se contempler, le monde ?

« Ainsi sont nés en 1962 mes tableaux-miroirs : et le monde entier est entré dans mon oeuvre. Ces oeuvres lui permettent de se représenter partout, de se réfléchir et réfléchir par la même occasion ; elles invitent à penser sur ce qu'on voit et non seulement à regarder. C'est à partir du moment où je me suis retrouvé avec les autres dans le miroir que j'ai trouvé ma vraie identité : non plus solitaire, mais collective, compréhensive des rapports humains. Internet est un peu la traduction technique de mes tableaux-miroirs. »

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Pour une fois, une belle phrase de Paul Valéry (mais en avait-il conscience ?)




« La plupart des hommes ont une idée si vague de la poésie que ce vague même de leur idée est pour eux la définition de la poésie. »

Le Secret




On va voir le film avec Sean Penn, ce soir ?



Heu... j'aimerais bien, oui, mais je bosse sur un truc énorme et urgent... J'ai envie de te dire (car je sais pas tenir ma langue), mais c'est un projet secret... Tu promets que tu diffuses pas sur ton blog ? hein, mon loup ? je peux te demander ça sans toucher à ta liberté ?

Je t'emmerde avec mes secrets ? Si oui, t'auras le droit de me donner une fessée



Non, tu m'emmerdes pas. Ok, dis-moi. Je te lèche le cul plutôt que d'en parler



...

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« ‘To paint involves a certain crisis, or at least a crucial moment of sensation or release’, wrote Twombly earlier in his carrer, ‘… it should by no means be limited to a morbid state, but could just as well be one ecstatic impulse.’ »



« Bacon isn’t simply suggesting that these people need to be staged and cage ; he is saying that these images need to be confined. They are so daunting that they need the frame of the picture, and the frame within the frame. As spectator we are told to keep our distance. And this is also makes us look.



« His painting reject the spectacular in favour of the ambiguous, the tentative and the faux-naïve, examining history, memory and subjectivity as both personal and collective phenomena. »

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