Saturday, February 04, 2012

Merci infiniment au 80 personnes qui ont rempli la salle de la Ménagerie (on aurait pu le faire à moins !) pour la toute première présentation de ce travail en cours encore sans titre – mystérieux pour moi autant que pour vous – peut-être un spectacle invisible – peuplé et dépeuplé – qui sera représenté au mois de mars (à l’ouverture d’Etrange Cargo).
Peut-être que le titre qui conviendrait serait un titre de Fernando Pessoa : Le Livre de l’intranquillité, par exemple. Douceur indicible, bercement insondable…

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Photo François Stemmer.

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« Inertie et cohérence les clés d'une bonne nuit. »

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Pour les acteurs du spectacle encore sans titre de la Ménagerie de verre




« Être poète n'est pas une ambition que j'aie, c'est ma manière à moi d'être seul. »



« Ce qui aurait pu être, ce qui aurait dû exister, ce que la loi ou le Destin n'ont pas donné, je l'ai jeté à pleines mains dans l'âme de l'Homme et elle s'est troublée de sentir la vie vivante de ce qui n'existe pas. »



« Oh, quelle horreur, quelle horreur intime dénoue la voix de notre âme et les sensations de nos pensées et nous fait parler et sentir et penser quand tout en nous demande le silence et le jour et l’inconscience de la vie... »



« La mer est la religion de la Nature. »



« C’est ailleurs seulement que la mer est belle. Celle que nous voyons nous donne toujours la nostalgie de celle que nous ne verrons jamais... »



« Définir la beauté, c'est ne pas la comprendre. »



« Ma vie tourne autour de mon œuvre littéraire – qu’elle soit, ou puisse être, bonne ou mauvaise. Tout le reste, dans la vie, n’a qu’un intérêt secondaire. »



« La vérité est la seule excuse de l’abondance. Nul homme ne devrait laisser vingt livres à moins de pouvoir écrire comme vingt hommes différents. »

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Olivier Steiner
Prendre un verre avec JT à l'Autre Café, y croiser PC, sortir direction la Ménagerie de verre, y retouver EL, voir le dernier spectacle en chantier d'YNG, à la fin dire deux mots à SG et l'embrasser, appeler TL, appeler NBG, prendre un autre verre avec JT et EL encore, entrer dans la première pizzeria venue, commander une pizza dite Roll's, parler du dernier roman de AK, déca, clope, addition, taxi, arrêt rue de la Roquette, s'arrêter pour un shot tequila sel et citron, rejoindre YNG au théâtre de la Bastille, se retrouver dans la grande salle vide en pleine répétition, y voir TG nu sur scène, en larmes, de lumière et de fumée vêtu, sortir encore, re-taxi, danser à la Java avec YNG, y croiser MS qui veut casser la gueule à YNG, boire 5 shots de vodka caramel, admirer la foule des 17 / 22 ans, sortir, fumer, danser, taxi encore et rentrer chez toi. Il fait moins 8 degrés.

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