Monday, March 12, 2012

Vraie lumière




Jacky Le Devehat
Merci Yveno pour cette soirée, elle est très belle, cette pièce ! G cherché à te féliciter mais sûrement très occupé, suis allé retrouvé Isabelle et Philippe qui n'ont pas pu rentrer... Des bises et bonne nuit.

Bonne nuit, mon Jacky ! Oui, déçu pour Isabelle et Philippe !!!!!! Snif.






Thomas Gonzalez
Bravo.

Ouaip ! c'était pas mal, ce soir. Merci !

Ouaip, pas mal, pas mal du tout, hein

Ben ouais

Mais surtout cette scène du feu là. Pfffiou avec Dréville et Carlito, c'est fou

Yeap !

C'est primaire, c'est princier, c'est vraiment la class.
Bonne nuit alors !!!! Kiss

Yeap ! (j'ai le hoquet) Bonne nuit






Virginie Jacquet
Beautiful ! Merci à toi YvesNo. Des baisers.






Pascalis Gabriella
Petite intrusion...
mais parfois, pudiquement, c 'est bien de dire que on a aimé, la difficile, fragile et d'autant plus immense création vue hier soir. Non pas « vu », mais une rencontre.
Et les rencontres sont rares, précieuses, indomptables.
Alors, « grazie » .
Et,
MERDE pour la première (je crois), ce soir.
Gabriella





Gurshad Shaheman
Un grand Merci et un grand bravo, Yves-No. C'était beau. Il n'y a plus que sur tes plateaux qu'on peut voir ce vrai noir et cette vraie lumière qui émanent des acteurs.
Bien à toi
G.

A toi aussi, un grand merci !

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Voici




Mon Dieu ! Je voulais vous dire que j’étais enfin satisfait, ce soir, que je croyais que, là, ça passait auprès du public, cette chose étrange qu’il nous a fallu trois jours pour ajuster (ce qui est très peu, finalement), trois avant-premières, que je voulais remercier le public de nous avoir accompagner à fabriquer ce spectacle (on ne peut littéralement pas le faire sans le public), que je voulais m’excuser aussi pour les gens laissés dans la rue, la violence de ça, les journalistes, même (mais comment faire ? virer des gens qui étaient là, certains, une heure avant ?) Je voulais souhaiter la bienvenue au public payant et voici... voici que Jean-Pierre Thibaudat – critique illustre s’il en est – vient de publier un dithyrambe qui me fait tellement rougir – ou blêmir – (« version tweeter du Regard du Sourd ») que j’ai maintenant peur que cette chose inconsciente que nous faisons, disons quoi ? la maison, la maison du bonheur, le plus possible inconsciente, soit abîmée par tant d’éloge… Je vous aime.

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