Thursday, August 23, 2012


Amy Winehouse
Sur Facebook, Christine Boisson écrit : « Un p'tit coup de punch (pas la boisson, non !... c'est fini...) pour la rentrée, j'ose enfin sourire. » (Elle poste une photo.)



« L’important, ce n’est pas de passer inaperçu. L’important, c’est la surface. L’important, c’est le spectacle. L’important, c’est l’image. »



J’ai changé le sexe de ma nature.



Il faudrait que je me déporte jusqu’à ne plus connaître – ni mes amis me reconnaître.
Est-ce si difficile ?



Toile de fond
« A small inn in Provence serves as the backdrop for a story of lost love and regret. »



« J’appelle riches ceux dont les moyens peuvent satisfaire les besoins de l’imagination. »
Mon imagination est affreuse et terrible.
Elle dénude et dessert.
Les moyens organiques.



Unhinged by grief, ébranlé par le chagrin – ou la peine

Ce ciel bleu miroir, bleu chagrin, bleu azur,
Ce ciel vertueux,
Misanthrope, fastueux,
Ce ciel débordant de grâce, assoiffé, vertueux,
Mélangé et très pur,
Ce ciel devant la nuit – et ton bonheur

Comme en convalescence, tu rappelles le sens de tout – il n’y a rien aux murs.

Ça chevauche, la ville, de ma fenêtre, ça virevolte. Ça rêve, ça se dépare… Ça s’embrouille comme un grand récit clair…

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Princesses et amoureux




« Look, » she said once, « can't we leave something to the imagination ? » She added, « Frankly, I've probably done everything. But I will never write about my sex life unless I write about it in a novel. »

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« J’écris pour, surtout, ne pas ne pas écrire. »

J’ai rien envie de faire. Heureusement, les choses se font avec rien. Donc l’envie demeure – de la journée au bord de la mer…
Je voudrais lire tous les livres à la fois.
C’est un peu ce que je fais. J’en finis rarement. Un sujet m’intéresse. Un sujet m’accapare. Un sujet me délaisse. Que peut-on faire avec son cerveau ? (Un ouvrage de vulgarisation.)
Plusieurs parcs et jardins s’offrent à moi. Quelle est la meilleure stratégie ? Où me poster ?
Le problème avec les romans, c’est qu’il faut les lire jusqu’au bout. Car c’est la fin qui est intéressante. Normalement. Comment le romancier finit le livre… Mais je lis très peu de romans. Je lis des biographies. Je lis des essais. Je lis de la poésie. (La fin ne compte pas.) Ou alors je ne lis que la fin. Une astuce aussi…

En ville, on peut se montrer ou se cacher, l’intérêt de la ville… (Mais, dans la nature, Dieu vous voit.)

C’était facile d’écrire des romans lorsque nous en écrivions, c’était aisé… Il y avait ces femmes, il suffisait de les décrire et de les faire bouger – elles bougeaient déjà…
Le monde n’était alors qu’un documentaire, un documentaire qui s’écrivait… comme un roman !
La vie et son envahissement
Grande capitale
Bruyante
D’été

« diluant sous l’angoisse son eau claire d’une piscine »

4 heures bientôt, je descends vers la mer…

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« Ce n’est plus la présence de Dieu, c’est l’absence de Dieu qui rassure l’homme. C’est très étrange, mais vrai. »

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