Thursday, September 26, 2013

V acances à Carcassonne

     
Carcassonne, y a des gens qui me connaissent là-bas ? Moi, je connais pas et je débarque demain, vendredi — c'est pas sûr que je repartirai en ayant connu Carcassonne (les remparts ?) parce qu'à peine arrivé, on me met dans une boîte pendant 24 heures, c'est le festival Surréalizm, je ne sais pas ce que je vais y faire dans la boîte, si vous passez, entrez donc (l'entrée est libre et vous pouvez me déranger à toute heure du jour et de la nuit). (J'en avais marre de Paris, Marie-Thérèse Allier, tout ça, vive la nouvelle boîte de Carcassonne !) Les renseignements au 06 81 64 29 94.

L a Boîte de Paris





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T he sublime



« The frightened boy runs out of the house followed closely by a mad Mrs Knox, knife in hand. But she doesn’t pursue Jamie. Instead she makes for the house immediately next door. She bangs her fist on the door.
Mrs Knox: ‘Ya whore, ya whore, ya whore. Bitch! Bitch! Bitch! Bitch out of hell!’
Jamie running away. Disappears over the brow of a hill.
Jamie, his hand held by a policeman, returns to Mrs Knox’s house. The policeman knocks on the door.
Classroom. A rear view of children behind desks. They are singing. Jamie is finally isolated. ‘Summer suns are glowing / Over land and sea / Happy light is flowing / Bountiful and free / Everything rejoices / In the mellow rain / Earth’s one thousand voices / Join the sweet refrain.’
Jamie has wet the floor. All the children front view. ‘All good gifts around us / Are sent from heaven above / So thank the Lord / Oh thank the Lord / For all his love.’
And as the singing continues we see what will become of the children.
We are in the cage, inside the pit shaft gate. Once more we are leaving behind the good light and once more the black earth is rushing up to shut it out.
Miners’ faces in the darkness of the cage. Blackness. Pinpoints of light from the miners’ headlamps bob up and down and reflections of the lights break up in the dark water. »

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S tan (2)





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L es périodes


MERCI, je vais les chercher les films de Bill Douglas.
En ce moment, à part Soleils qui va jouer un peu, je me demande quoi.
Comme une envie de sortir de chez moi et d'aller chercher des sources… dans la Nature ! ?
Fatigue de tous ces objets que je vois que je touche, tout est sec et à moitié mort ; je reste planté là chez moi à me demander si je vais oser prendre une tangente.
Olala, excuse-moi , je m'étale, mais j'ai un sérieux coup de mou.
Merci encore pour le plaisir de te lire et de savoir sur ce qui te fait vibrer,
« un jour la Vie sera grâce à votre vie »
Envie d'envie de vie
Bonne nuit
Pierre

— La nature ! oui ! prends-moi et emmène-moi dans la nature ! J'en meurs de pas vivre la nature tous les jours... J'ai un ami qui s'occupe des animaux dans une réserve africaine (c'est certes pas toujours rose, les braconnages...), j'en ai un autre qui vit sur un bateau (pour ne parler que de mes amis Fb...) Tout à l'heure, Marie-Thérèse m'a parlé de Belle-Île... On a évoqué avec Sofie et Arthur la possibilité de louer un gîte à Ouessant l'été prochain (je l'ai fait plusieurs années). Mais la montagne me manque, la haute-montagne...
Mais c'est vrai que tu as mis la barre haut avec un titre comme Soleils ! Mais tu peux trouver... Regarde, moi, j'avais ce titre de stage : Jouer Dieu, que j'ai utilisé 3 ans et je ne voyais pas comment dépasser ça ; j'ai trouvé, le prochain s'appelle : Casser une noix. C'est pareil, finalement...
On trouve toujours, tu vas trouver, mais il y a des périodes où l'on cherche. Ce n'est pas des périodes méprisables...

Bien à toi, 

Yvno

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L oulou


Ohhhhh
Bisous alors

— Oui, en tout cas, je peux te dire que j'ai dit à Marie-Thé tout à l'heure que t'étais pas libre et ça la rendait malheureuse. Elle a répété plusieurs fois : Ah, dommage, dommage, dommage... (lol)

— J’en ai marre mon Loulou
J’aurais aimé parcourir tes vapeurs
Et m’y confondre tendrement

— Oui, je t'aurais mis dans le brouillard ou même dans le noir total (puisque, toi, t'es capable d'apprendre un texte) et je t'aurais demander de dire du Nerval ! (Aurélia, par ex) et, là, j'aurais bu du petit lait !!! Ç'aurait été un spectacle rien que pour mon plaisir à moi, rien que ! (comme j'essaye toujours que mes spectacles soient — mais c'est pas facile...) Love

— Tu es un immense artiste
Jardinier sculpteur
Biologiste chimiste

— :-) Toi aussi ! (autoportrait...)

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T u es black ?


Salut Yves-Noël, je crois que ton travail scénique se place exactement là où je voudrais faire des progrès, l'appréhension du rien, lumière suprême de l'acteur, alors, si ça te branche comme moi qu'on bosse ensemble, appelle-moi au 0606766445. Thomas

— Tu es black ?

— Ah, non, c'est Thomas : j'ai fait une journée dimanche avec Maxime Tshibangu. Sorry, j'ai mal compris, j'croyais que les Blacks, c'était pour autre chose... Décidément !


— Ah, Thomas ! mon amour ! Oh, c'est gentil de me dire ça ! Moi aussi, j'ai été touché par toi parce que j'ai vu que ce que je te disais agissait et que tu gagnais en confiance... Et, la confiance, c'est tout ce dont vous manquez, vous les acteurs... Ouaip ! T'as raison de t'adresser à moi. Comment on pourrait se revoir ? Le stage ? Déjà bien plein de postulants, je crois... Ton ami black était vraiment très bien aussi, qu'est-ce qu'il devient ? Ah, je me souviens : pas libre du 7 au 14 nov...

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L es Trous merveilleux


Catherine Travelletti
Ciao bel éphèbe des temps modernes ! Je ne pourrai malheureusement pas participer à ton stage ! Ces Flamands me tiennent par les narines, ce qui dans le fond n'est pas du tout tragique, j'en suis même ravie ! Mais j'adorerais me frotter de plus près à ton travail... Je le prends avec philosophie terrienne et te dis ce n'est que partie remise !!! Je t'embrasse fort fort fort fort et AMISEZ-VOUS !!!

— Toi aussi ! T'es libre du 7 au 14 nov ? (à tout hasard...)

— PFFFFFFF NON !!! on a une première le 9 !!! AAAAAAArrrrrrgh, je sens que ça risque de me froisser ! J'ai d'autres trous plus tard, j'ai plein de trous merveilleux

— Eh eh...

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