Tuesday, February 11, 2014

P erdre enfin !


Boris chaton, après l'avoir perdue 1000 fois et 10 000 fois retrouvée (et encore plusieurs fois aujourd'hui), je crois que j'ai perdu définitivement ta noix ce soir... J'espère que ce signe ouvrira une ère nouvelle dans nos relations ! (J'aurais dû, cela dit, te demander où tu l'avais trouvée à Bruxelles où j'étais pour en prendre un stock de secours...)
Bisous, 
YN
C'est quoi, déjà, ton nom FB ? j'ai oublié...



Ah ! misère ! misère ! il fallait que ça arrive (c'était il y a 2 mois, la chute des noix, tu as l'excuse du réchauffement climatique, mais tout de même).
Je pense qu'en toute logique cette noix maintenant au sol devrait faire rentrer notre relation dans « l'ère de l'arbre » avec toutes ses ramifications (au passage, le bois du noisetier est parmi les plus solides...)
Mon FBn c'est Kilélé (tu vois ce que ça fait d'accepter tout le monde tu n'y retrouverais plus tes petits, sur FB).
A bientôt… ce week-end, j'avais pensé aller à la soirée Flash Cocotte, ça pourrait être drôle.
Bises

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2 étoiles le suivent (une danse pour Damien ?)


Dos estrellas le siguen


« Texte du Lutin d'Ecouves : La Folia est, à l'origine, une danse dont il est fait pour la première fois mention dans un texte portugais du XVe siècle. Il s'agissait d'un rite chorégraphique lié à la fertilité lors duquel les danseurs portaient des hommes habillés en femmes sur leurs épaules. Le rythme rapide de la danse ainsi que son aspect insensé furent certainement à l'origine de son nom. Parmi un certain nombre de thèmes, émergea une mélodie de base. Jusqu'au milieu du XVIIe, elle se répandit en Italie (Follia) et en France (Folie d'Espagne) puis le thème évolua rapidement pour prendre sa forme définitive dans cette suite d'accords : réM / La7 / réM / do / fa / do / réM / la7. »

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L a Valise de Duchamp


Le sympathique Rodrigo Garcia me propose une rétrospective de mes œuvres, sur un mois, tous les jours sans dormir ou en dormant sur place. Je lui dis que ce serait merveilleux, que plusieurs personnes me l’ont déjà proposée, Pascal Rambert, Marie Collin, d’autres dont les noms m’échappent à l’instant. Mais comme ça coûte de l’argent, tout le monde s’est défilé, bien sûr… Puis je dis : « A moins de faire comme la valise de Marcel Duchamp, tout en miniature… » Ça l’amuse beaucoup. Oui, si je faisais la valise de Duchamp ? Mais toutes ces œuvres ont été faites sur les acteurs, à partir des lieux, des contextes, il n’y a pas d’œuvres, en fait (mais des circonstances), comment les miniaturiser ? Des poupées, des marionnettes ? Ça n’aurait pas de sens de faire tenir du théâtre dans une valise… C’est pour ça qu’il faudrait y penser… Qu’est-ce qu’il resterait dans cette valise ? Du temps, des images… un petit théâtre de poupées qui deviendrait une œuvre, oui… Et, « moi », comme un vieillard itinérant déplierais mon castelet…
Le fou-rire de Zouc (à 12mn33), me dit Patrick

L ’Orgueil et la liberté


« Il n’y a pas d’art sans surprise et sans changement »

« Il faut se mettre devant le neuf, je tiens à me mettre devant du neuf et du nature »

« Je crois beaucoup à la beauté, mais la beauté n’est beauté que si elle est neuve »


« J’aime beaucoup le cinéma parce que je sais qu’il est périssable. J’aime beaucoup faire une fois et que ça sera pas… Je ne crois pas à l’immortalité des œuvres »

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A na Pi


« Elle est tonitruante. »

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D evise


« Chacun pour soi, pas de théâtre possible. »

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La Possibilité d'une ville, me dit Sébastien

Qq cauchemars qq nuits et qq éclaircissements qq jours


A Saint-Eustache (j’ai r-v avec Pietro à La Pointe Saint-Eustache), c’est la sortie de la messe. Cette église est si grandiose, chaque fois que j’y passe, j’y entre… Il y a de l’orgue, sublime, gothique, ténébreux et cosmique (cosmos avec Dieu). J’imaginais de l’orgue, à un moment, aux Bouffes, des délires d’orgues… A la fin du morceau, les gens restés pour écouter cette chose monstrueuse : l’art qui prend la place de Dieu (comme qui dirait), applaudissent. Je demande à qq’un qui s’en va précipitamment et ne ralentit pas sa course pour écouter ma question : « Savez-vous, s’il vous plaît, quel est ce très beau morceau qui vient d’être jouer ? — mais il l’entend quand même et a le temps de souffler (sans s’arrêter) : « Mais non ! c’est une improvisation ! » Enfin ! Très méprisant, le catho pédé à cran, de ma nullité. Ça me fait rire. Ah, ben oui, c’est une impro… C’est vrai que ça me paraissait bien fou-fou aussi…

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I dée de costumes pour Pietro Marullo


(Dentelle de Bruges)

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