Thursday, August 14, 2014

L ’Anglais facile


« Soirée Beach », ne pas confondre avec « Soirée Bitch »

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S tage de septembre


« peuplé de cheveux longs, de grands lits et de musique »

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E n Corse


Tout est beau, miraculeux, bling-bling et nu, en Corse

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S elfie Beausoleil



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A l’intention de Clarisse Fabre


Je n’ai rien contre la découverte d’un texte au théâtre, mais l’obédience du théâtre au texte souvent me gêne. François Tanguy disait : « Le mot que je déteste le plus quand on parle du théâtre, c’est le mot « texte ». » Je fais du théâtre d’après les lieux (souvent des théâtres vides) et d’après les personnes. Des acteurs à qui je demande de « ne rien faire » — ou de faire ce qu’ils veulent ou ce qui leur fait plaisir (c’est pareil). Je ne veux pas les voir occupés à « faire », comme, par exemple, à faire ce qu’ils ne savent pas faire, occupés par une fonction qui les occuperait. Je propose souvent aux acteurs d’être des « publicités » pour eux-mêmes. Qu’il n’y ait rien d’autre que la présence, l’être. Du texte ? si ça vous chante (et si je ne l’entends pas comme du texte, c’est-à-dire du texte auquel vous seriez assignés). A la fin de La Tempête, le magicien Prospéro, metteur en scène qui a délivré les autres personnages, demande la délivrance du public, plus grand magicien. Oui, le théâtre, à l’envers : une délivrance. « Par votre souffle mes voiles seront gonflées, / Autrement mon entreprise est mort-née, / Qui voulait plaire. Plus d’esprit à présent / Qui soit à mes ordres, plus d’enchantements ; / Je finirai en proie au désespoir, / Sauf si la prière me permet de croire, / Elle qui nous transperce et prend d’assaut / La pitié et efface tous nos défauts. / Si vous voulez qu’on pardonne vos offenses, / Délivrez-moi tous par votre indulgence. » (dans la traduction du Livre de Poche).

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C ouchant



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