Tuesday, February 24, 2015

F euille de salle Zelda, Vanves


Yves-Noël Genod présente

Un petit peu de Zelda

(remix)

Tous mes spectacles sont des remixes, mais celui-ci a, plus facilement peut-être, la possibilité de renaître de ses cendres. Un petit peu de Zelda, c'est une installation lumineuse de Philippe Gladieux, un procédé qu'il a inventé. Un outil qui permet d'interpréter la lumière, c’est-à-dire de jouer une partition où la lumière reste vivante, toujours insaisissable. Philippe a aussi la possibilité d'intervenir au stylo pour atténuer, rediriger les effets, dresser les nuages. Il saisit ou non cette opportunité. Ainsi le contenu du spectacle est libre, il est inventé par les interprètes et par vous et par moi. Il est fait de la matière de nos rêves, de vos rêves. Il est extra et terrestre, comme disait une amie... C’est donc une version inédite que le dieu du hasard a bien voulu nous… Non, je ne veux rien dire... Laissez-vous aller...

Yves-Noël Genod


Avec, par ordre d'entrée en scène :

Adrien Dantou
Gaël Sall
Wagner Schwartz
Jonathan Foussadier
Grégory Carnoli
Jessica Batut

Assistant : Simon Bomo
Assistante stagiaire : Helen Héraud
Remerciement à Marc Toussaint

Production : Le Dispariteur
Coproduction : Théâtre de Vanves, la Ménagerie de verre, Théâtre de Gennevilliers
L’association Le Dispariteur bénéficiera, en 2015-2016 d’une aide à la compagnie attribuée par la DRAC Île-de-France

Le spectacle est dédicacé à Philippe Lançon

Durée : 1h30



«  Et ça, c'est trop transparent ou pas assez ?
— Ça dépend si vous voulez montrer la vérité.
— C'est comment la vérité ?
— C'est entre apparaître et disparaître. »
 Jean-Luc Godard, Détective



Yves-Noël Genod ne se présente lui-même que comme un « distributeur » de poésie et de lumière ; il n’invente aucun spectacle qui n’existe déjà. Il fait passer le furet, « passé par ici, il repassera par là », il révèle. En effet, pense-t-il, la révolution, c’est la redistribution des richesses accaparées. Son art a été qualifié de « théâtre chorégraphié ». Ce comédien prétend s’effacer derrière son œuvre qu’il désirerait n’être que trace infime, dérisoire, inutile, mais dans l’optique pascalienne qui dit que : « Nul ne meurt si pauvre qu’il ne laisse quelque chose »...


Yves-Noël Genod a présenté au festival Artdanthé quatre pièces : Dictionnaire des Açores, C’est pas pour les cochons ! (collaboration avec Kataline Patkaï) et Hamlet dans sa troisième version. Un petit peu de Zelda est la deuxième version du spectacle déjà présenté à la Ménagerie de verre

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