Monday, February 16, 2015

V anves, c’est parti !


Je suis incorrigible : j’ai engagé une foule de gens — alors que je pense que l’installation lumineuse de Philippe Gladieux pour Un petit peu de Zelda se suffit à elle-même : seulement la lumière avec personne dedans. Bon, ce sera encore pas le cas. Un petit peu de Zelda… comment vous faire comprendre que Zelda est un fantôme ? J’adore engager des gens, surtout à la dernière minute, sentir le désir flottant se cristalliser. Je fais d’abord le tour de tous les anciens — qui ne sont pas libres, mais ça me fait tellement plaisir que les gens avec qui j’ai travaillé avec tant de bonheur travaillent ! Comme ça, j’ai des nouvelles, Jeanne est à Hambourg, Jonathan à Tarbes, Marlène fait du cinéma, Julien aussi (mais il réalise), Thomas, c’est tournée non-stop, Lucien à Montpellier, Felix has « just started today to set up », etc.
Théâtre de Vanves, salle Panopée, représentation le 24 février à 19h30.
« Un petit peu de Zelda, c’est d’abord l’installation in situ d’un dispositif lumineux inventé par Philippe Gladieux appelé « Shape », une lumière organique tout autant que mentale (on peut aller y projeter nos choses, nos angoisses, notre être). »

Labels:

Photo Philippe Gladieux

Labels:

Le plus souvent la nuit


Ecrire, c’est pas facile, mais écrire des petits bouts, c’est à ma portée, par exemple :
« le plus souvent la nuit »

Labels:

« Selon le docteur Jean-François Dartigues, neurologue, la discussion avec la milliardaire pouvait avoir une « certaine cohérence » quand les « questions venaient d'elle ». « Une attitude qu'elle a dû peaufiner tout au long de son existence » en raison de son statut de « fille unique promise à un avenir grandiose » dans un « univers tout à fait à part », a confirmé le psychologue. « Il est plausible d'imaginer que si elle a l'initiative de la conversation », Liliane Bettencourt « pouvait tout à fait abuser son interlocuteur », a-t-il ajouté. »

Labels:

M erci Bruxelles



Grégory Carnoli

Labels:

« La mode n’est pas drôle.
C’est quelque chose au bord du suicide. »

Labels:


« II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,
Comme un enfant de chœur, jouer de l’encensoir,
Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère,

Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas
Et ton rire trempé de pleurs qu’on ne voit pas,
Pour faire épanouir la rate du vulgaire. »

Labels:

« Je suis seul, parmi la poussière des livres et dans l’ombre d’un cabinet… »

Labels: