Thursday, November 03, 2016

F resque du Fils de l'Homme



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« On connaît la formule : une tragédie est une comédie vue de près, une comédie, une tragédie vue de loin. »

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« C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents » 

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L 'Avoir


« Le temps, c’est tout ce qu’on a, c’est tout ce qui nous reste, c’est tout ce qu’on aura jamais. »

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« Le sujet est « englué dans le monde », comme l'a si joliment écrit Gracq. »

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P roust


Photos Dominique Issermann

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« You look at something in the mirror and not see yourself — and not feel weird, but feel free. »

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C hambre noire du bonheur


« Le bonheur [...] c'était [...] une chose toute en pensées [...] comme disait Léonard de la peinture, 'cosa mentale’. »

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E n essayant les outils (état obsessionnel)



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J'ouvre un livre et j'y vois écrit : « L'art est l'apothéose de la solitude »

D éjà pris


« Be yourself: Everyone else is already taken. »

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D ominique Issermann (suite)


J'écris ceci sur le chemin de planches de la grève de Trouville fréquenté par tant de silhouettes noires de la perception, fréquenté par Marcel Proust, fréquenté par Marguerite Duras, fréquenté par Dominique Issermann et tant d'autres... Fréquenté par moi, cette supposition d'un moi, construction rétrospective, il y a vingt-cinq ans, au début de ma jeunesse. Fréquenté par des enfants nouveaux. Mais la mer et le ciel et le sable toujours amoureux de l'Homme, toujours muet d'amour, comme une bande-son, une berceuse... 

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« des soleils crachés, comme disait Jacques Brel »

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« Je dis souvent que Wilde était le plus nietzschéen des écrivains, que Nietzsche était le plus wildien des philosophes. »

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L es Baisers


Titre (entendu à la radio ce matin) : Les Baisers finissent toujours par abîmer

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I l parlait beaucoup de lui


« Parler beaucoup de soi est la meilleure façon de se cacher surtout lorsque l’essentiel est tu. »

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P resque avant le mot « je » 


Je ne sais pas quoi faire, je suis en contact avec la peur…
Peut-être que je me rends compte aussi de la beauté — et de l’écart qu’il y a alors entre la beauté — le ciel, la mer, la neige — et le fascisme qui grandit en même temps que la mort…

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